Le blog est mort, vive le blog !

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/30/La_chambre_du_tr%C3%A9pas_de_Louis_XIV_Roy_de_France.jpg     

Rares lectrices et lecteurs du blog La Gloire de Rama, vous avez dû constater que ce dernier ne reçoit désormais plus le moindre enrichissement. 

Je m'explique : j'ai rencontré ces temps derniers de sérieux problèmes informatiques qui m'ont contraint à reconfigurer mon ordinateur à zéro. Conséquence : perte de mes données de connexion à mes trois blogs, ce qui m'a obligé à recréer les comptes de chacun à partir des mots de passe préalablement existants. Or, vous le devinez, les coordonnées de La Gloire de Rama n'ont pas été retrouvées par Google. Impossible dès lors de me reconnecter, d'où la nécessité de créer  un blog ad hoc reprenant l'ancien, où il en était, avec une nouvelle interface.

En 2011, une pareille mésaventure m'était déjà arrivée, m'imposant la création d'un troisième blog, Bazarnaum à Agartha City 2, destiné à l'origine à demeurer provisoire, le temps d'achever d'y publier les derniers chapitres du roman Mexafrica. Le problème du blog La Gloire de Rama ayant été réglé, plutôt que d'abandonner Bazarnaum à Agartha City 2, je décidai de lui donner une nouvelle vie en l'axant sur la critique des mécomptes culturels multiples que je pouvais constater çà et là (reports abusifs de sorties de films, romans ignorés par la critique, musées délaissés, écrivains injustement oubliés ou négligés etc.).                                                                                                                                                                            

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Un goût d'éternité 6e partie : Otto : 1953 (1).

Image
  1953 5 Mars 1953. Le Kremlin était en deuil. En effet, Staline venait officiellement de décéder. Dans le monde communiste, une vague de désespoir sincère saisit les militants, les sympathisants ainsi que les compagnons de route. Pour qui ne faisait pas partie de cet univers, ce chagrin incommensurable apparaissait incompréhensible.   A Paris, le PCF avait ouvert un livre de condoléances et la foule venait signer, témoigner de sa peine en un recueillement empreint de dignité. Plusieurs millions de Français devaient y apposer leurs signatures.    Or, parallèlement, à Moscou, ou plus exactement dans la datcha personnelle du défunt tsar rouge, Beria, au chevet du cadavre, sa haine suintant de tous ses pores, insultait en abondance le cadavre rigide et glacé de Staline. Du moins c’est ce que raconta Nikita Khrouchtchev dans ses mémoires quelques années plus tard ? Faut-il l’en croire ?  Toutefois, le chef de la police ne devait pas se réjouir longtemps. Destitué le 9 juillet,
Lire la suite

Un goût d'éternité 6e partie : Otto : 1953 (2).

Image
  A Berkeley,   les scientifiques américains qui s’affairaient autour de l’artéfact, avaient d’autres chats à fouetter que de se préoccuper du sort de l’Indochine. De longs mois durant, ils tentèrent de définir les composantes exactes de l’étrange appareil de Stephen. Celui-ci passa même au microscope électronique qui révélait toutefois une structure incompréhensible. Les molécules de l’objet ne correspondaient à aucun des éléments de la table de Mendeleïev   comme s’il se fût agi d’un matériau non encore découvert ou inventé au XXe siècle. Tour à tour, ils crurent avoir affaire à un hybride de calcite et de silice, à un dérivé de plastique, puis à un métal inconnu. La masse atomique qu’ils avaient pu déterminer était supérieure à 106, chose alors impossible. Tout nouvel élément découvert désormais dans la table de Mendeleïev était théoriquement instable et éphémère. Or, l’objet paraissait dater de plusieurs millénaires au moins. Ce qui troublait le plus le groupe de chercheurs, c’ét
Lire la suite